3 questions à Fabien Vuilleumier, Tebicom
Que retenez-vous de la mise en place de l’holacratie chez Tebicom ?
« Me concernant, j’ai découvert l’holacratie lors d’une formation de praticien dispensée par Bernard Marie Chiquet. Je dois dire que j’ai été d’emblée séduit par la démarche, la théorie qui sous-tend l’holacratie. Pour autant, pour être tout à fait honnête, j’étais – au départ – un peu dubitatif sur le passage à la pratique. La suite m’a démontré le contraire. Ce qui est très positif car c’est la philosophie portée par Tebicom et l’holacratie qui m’ont fait rejoindre l’entreprise.
Depuis, beaucoup de chemin a été parcouru tant d’un point de vue personnel qu’organisationnel. Plus concrètement, une étape qui m’a semblée cruciale dans notre parcours de transformation : l’encodage qui est venu valider mais aussi, in fine, structurer une démarche qui était déjà là au préalable. En somme, l’holacratie est venue apporter de la méthode. »
Quels ont été selon vous les principaux changements ?
« D’un point de vue personnel, c’est vrai que j’avais déjà une grande autonomie chez Tebicom. Néanmoins, l’holacratie a rendu les choses très explicites. Une situation qui a permis de gérer beaucoup plus simplement les situations ou les difficultés auxquelles nous sommes confrontés.
Par ailleurs, ces changements ont aussi un impact très fort sur notre manière de travailler et d’interagir, de permettre à ceux pour qui le changement est plus difficile de se faire aider et, in fine, d’entrer dans un cadre, finalement, libérateur. »
Vous concernant Fabien, comment voyez-vous la suite ?
« Comme tout le monde chez Tebicom, j’ai beaucoup progressé grâce à l’holacratie. Pour autant, il me reste encore pas mal de chemin à parcourir pour parvenir au stade où « je ne peux plus me passer de l’holacratie » dont nous parle Bernard Marie Chiquet. Nous sommes toujours en train de travailler à personnaliser l’holacratie à Tebicom et c’est sans doute cela qui me permettra d’aller dans cette direction. »