3 questions à Marion Valentin, chargée de marketing chez Altyor

Quel est l’objectif de la nouvelle organisation mise en place avec HolaSpirit ?
« Cette nouvelle organisation a pour but de représenter l’entreprise avec l’intégralité des membres qui la compose. Cela permet à chacun de renforcer son sentiment d’appartenance et de renforcer notre culture d’entreprise. Elle incarne l’ambition d’offrir une totale transparence, puisque chacune des missions y sont représentées et directement en lien avec le collaborateur concerné. Par ailleurs, ce système facilite les échanges et nous permet de répondre plus rapidement aux demandes, qui sont mieux ciblées. HolaSpirit permet également de mieux organiser les fiches de postes, et à chacun de prendre son rôle encore plus à cœur. Cela a clairement permis une meilleure intégration des nouvelles recrues, qui reçoivent différentes sessions d’apprentissages concernant les enjeux et la construction des cercles en commun. »
Comment cette nouvelle organisation est-elle perçue au sein d’Altyor ?
« L’organigramme râteau ne nous convenait pas et nous avons vite opté pour une nouvelle façon de nous représenter. HolaSpirit nous représente beaucoup mieux. C’est un travail collectif, réalisé avec les salariés et les équipes d’iGi Partners, et où tout le monde peut se sentir inclus. Aujourd’hui, bien que nous soyons toujours dans une période d’implantation, nous sommes extrêmement satisfaits des deux volets, que ce soit concernant la construction ou l’aspect pédagogique. iGi Partners nous a vraiment aidé à mettre en place cette pédagogie à transmettre aux équipes. Les salariés, d’une manière générale, se sentent valorisés du fait que leurs accomplissements soient rendus publics. »
Comment voyez-vous la suite ?
« La nouvelle organisation est déjà généralisée dans une dizaine de départements ainsi qu’à Shanghaï où nous avons une usine de production. Par la suite, elle le sera à l’ensemble de l’entreprise. A plus long terme, cela devrait permettre de raconter de belles histoires d’ascensions sociales, car ce nouveau mode de management permet d’accéder à des postes à hautes responsabilités, bien souvent inaccessibles dans une grande structure ou même une PME. »